Premier journal !

Salut Pampesques !

Pour le premier journal que on va imprimer, je dis on doit faire de la publicité pour la Fête de l'Alcool !
Comme ça, on imprime le journal avant la fête et les gens ils peuvent lire !

Alors ici vous dites ce que vous voulez écrire !
Je sais pas comment on fait, peut-être vous devez écrire les articles ici ?

Salut !

Euuuuuh Moua j'ecris sur mon mariage et sur mon premier assassinat si vous voulés ?

Sinon pourquoi ne pas les envoyer sur la boite du journal, ou sinon ici ou créer une autre place dans ce topic ou chacun mettra son article avec en titre un truc comme :

J°1,"rubrique","par"
truc comme ca non?

Moi qui ai toujours rêver de devenir écrivain, faut que je vienne m'inscrire ^^

Arcueid, je demande un droit de lecture avant la parution de ton article sur ton mariage, ou alors je sors ma version

"Fées d'Hiver et Wafpaf" par la cellule Journal du Bureau Communication du Service Accueil /Communication.


ABANDON


Encore les ravages des substances illicites

Mercredi dernier, alors que l'Unité 3 des Léviathans (la Compagnie d'Intervention d'Abandon) effectuait sa patrouille régulière au Sud de la ville, les Keikan du Butaichô SASHIBA sont tombés sur un individu étrange, louche, et même carrément bizarre, qui "errait", selon leurs dires, plus ou moins en direction de l'extérieur de la ville alors que la chaleur battait son plein.

S'arrêtant aux interpellations d'usage, l'individu, un humain mâle d'âge moyen, brun mais pas rasé depuis un bon moment, présenta des papiers périmés aux agents. Cependant, malgré leur ancienneté, ces papiers n'étaient pas des faux, et les agents purent ainsi obtenir l'identité et la nationalité de l'individu, un Kralandais que nous appellerond Ledif A. pour préserver son anonymat.

Aux questions d'usage pour les non-résidents, l'individu, qui ne semblait vraiment pas dans son assiette, eût égard à ses yeux jaunâtres mais striés de vaisseaux sanguins, ne put que balbutier mollement quelques mots, dont un qui revint à plusieurs reprises, à savoir le mot "Fenouil". D'après les agents, son état se rapprochait fortement de celui d'une personne en manque.

Puis, alors que les Keikan allaient prendre congé de l'individu, celui-ci eut un spasme soudain en regardant vers les dunes hors de la ville. Avec une vitesse quasi inhumaine, la bave aux lèvres, il se mit à galoper vers l'une d'elle où le soleil couchant mettait nos chers cactus en relief. Surpris par l'attitude de l'homme, les agents se mirent en chasse lancèrent à sa poursuite.

Cependant, la vitesse démentielle de l'homme lui permit d'atteindre les cactus sur la colline avant qu'il ne soit finalement rattrapé. Les agents le retrouvèrent en train de se frotter et de mordre à pleine dents dans le pauvre cactus, au mépris des épines qui le griffaient et le perforait, tandis qu'il s'arrêtait sporadiquement pour vagir toujours et encore le mot "Fenouil". L'individu est décédé peu après avoir été amené à l'hôpital Pampesque, malgré les efforts fait pour le sauver.

Cet incident, bien qu'il ne soit qu'un fait divers parmi d'autres, ne doit pas faire oublier aux habitants du Désert que l'usage de drogue, quelle qu'elle soit, est strictement prohibé. Par ailleurs, il nous permet de nous mettre en garde face à tous ces nouveaux psychotropes qui envahissent les marchés parallèles voire même certaines places publiques, et font finalement perdre plus ou moins leur libre arbitre aux gens pour les soumettre à d'autres au travers de ces drogues. Bref, après la Grande Déesse, l'héroïne des Seeliens, voilà le Fenouil, opium du peuple Kralandais.


Un concurrent pour Monsieur WANDER

Monsieur Arthur H. n'a pas de chance dans la vie. C'est pourquoi il a voulu se suicider en se jettant du toit de l'immeuble situé au sud du palais de la Gouverneuz'. C'était sous-estimer sa poisse habituelle : il glissa dans l'escalier le menant au premier étage, l'ascenseur étant en panne. Le personnel de l'hôpital Pampesque est heureux de l'accueillir pour la 286 fois...


NAARTICAN


"Même pas foutu d'ouvrir une porte !"

Ce sont ces mots qui aurait provoqué une certaine crise de colère chez cet habitant, pourtant tranquille, du Naartican. D'après la reconstitution des faits, monsieur André L. rentrait des commissions avec sa femme, Germain L. née B., ce Jeudi 5 Octobre.

D'après les voisins, le couple battait de l'aile depuis un bon moment, et Madame L. invectivait souvent son mari pour un oui pour un non (plutôt pour des nons d'ailleurs). Toujours est-il que ce jour-là, Monsieur L. laissa tomber malencontreusement les clefs en essayant d'ouvrir la serrure, soulevant immédiatement une vague d'acidités de la part de sa femme.

A peine cette dernière avait-elle prononçait que Monsieur L. n'était "même pas foutu d'ouvrir une porte" que ce dernier s'est alors saisi de sa femme par la tête et a écrasée cette dernière sur la serrure en gueulant : "Et toi, tu l'ouvres mieux, peut-être ? Nan ? Alors ferme-là !", tout en continuant de taper sur la serrure avec le crâne de Madame L..

Un voisin est intervenu, mais le mal était fait. Enterrement de Madame L. Mardi 10 et procès de Monsieur L. Mercredi 11.

Je m'excuse je n'ai pas trop el temps pour ca,
mais j'en ferais un le plus rapidement possible encore pardon pour le derangement.
Sinon vous pensé le sortir quand?

Arcueid avait pour habitude se'entrainer tout les matins, un peu de muscu sans trop forcer, sinon ce n'est plus une fille, et du jogging.
Elle aime bien finir sa seance de musculation par une douche... et après quelque petite lotion pour la peau....

Mais ce matin la tout changea... Elle arrivait comme, a son habitude, a l'université qu'elle cotoi tout les jours.

Le professeur s'avance et lui dit que ce sera son dernier cours, qu'une autre epreuve l'attend dans le desert un peu plus loin.

Le professeur commence le cours, un cours sur la discretion.

Celui ci montre les meilleur moyens pour passer inapercu dans la foule, que je ne dirais points ici pour ne pas divulguer mes secrets.

La sonnerie retentit, je salut mon professeur, et je me precipite dans le desert, a la dune indiqué par le plan.

Les heures passent, rien.

C'est alors que pampa me reaparait pour la seconde fois devant moi...la première fois du a l'alcool, la seconde du au temps passer au desert je suppose.

Il m'explique que je viens de franchir une etape importante, j'allais obtenir mon premier diplome a moi de choisir la voix qui m''est destinée.

Parmis toutes les propositions, une seule me fis frissoner, je lui dis direct que je voulais être chasseuse de prime. Puis je tombais dans les pommes...quelques heures plus tard je me trouvais changée, un diplome près de moi certifiais que j'etais devenus, chasseuse de primes officiel...

Contente de moi je partit faire la fête et rentra fin saoul, chez moi.

Le lendemain matin le même rituel de l'entrainement s'effectua mais avec plsu d'ardeur, etant donné que mon j'avais mon diplome de première anées...

C'est alors qu'une etrange personne, MrX(pour cacher son identité), frappa a ma porte.

Mr X : Mlle Arcueid j'ai besoin de vous, puis je entrer ?

Arcueid...euh ouai.

Arcueid montre un siege à cet etrange individu.

Mr X: J'ai appris pour votre diplome et j'ai besoin de vos talent dans la discretion pour supprimer quelqu'un.

MrX expliqua en quoi consistait aussi le role d'un chasseur de prime

Arcu : Supprimer des gens... sympas ^^.
Vous venez certainement pas pour m'expliquer en quoi consiste mon boulot je suppose?

Mr X : en effet je veux vous engager pour un contrat sur, MrY, en elmerie.

Arcu : ... Ecouter je veux bie nessayer laisser moi le temps de m'organiser et si vous avez un dossier sur la dites personnes pour que je l'etudis merci.

Arcueid parlait comme une vrai pro...bien qu'elle ne sache pas trop ce qu'elle devait faire...

MrX : d'accord voici le dossier justement, je vous le laisse la ainsi que mon adresse pour que nous reparlions de tout ca. Bonne soirée et a bientot j'espère.

Après le depart de mr X, Arcueid chercha a se documenter pour voir comment fonctionne ce boulot.

Elle rappela mrX et lui dis :

Arcueid : ne dites rien, je ne vous dirais pas quand j'interviendrais, je ne veux pas savoir pourquoi vous voulez la tuer, et le salaire pour ce contrat est : XXXXXX... dites simplement oui pour accepter et je m'occupe du reste, il sufira de suivre le journal regulièrement.

Un long silence se fit entendre. Puis, dechirant celui ci un oui tomba dans les oreilles d'arcueid...elle sentit son coeur battre la chamade.

Elle se rendi en ville, pris une chambre, bien qu'elle n'arrive pas a trouver le sommeil, mais bon, pour bien reussir, il faut être en forme.

Pendant plusieurs jours elle etudia la ville les differents endroit pour fuir, hors de portée des policier, les deplacements de sav victime et chercha l'heure propice pour ne pas être prise au piège.

Quand le jour arriva, Arcueid avait mal a la poitrinne telment son coeur battait la chamade.

Elle allait enfin faire son premier assassinat.

Sa victime entra dans l'auberge comme convenu, toujours a la même table. Arcueid passa derrière, et parmis la foule reussis a ouvrir la gorge de sa victime sans que nul ne puisse la voir, comme lui avait appris son professeur. Son poul etait fort, sa tension montait, elle etait dans un tout autre etat toute chamboulet elle retourna au desert aussi vite que possible. Elle s'enferma dans sa chambre et essaya de se calmer...

L'Adrenaline, une pur excitation, un moment d'extase...elle su qu'elle avait choisi la bonne voie...


RDD, Rumeur du Desert Demoniaque :

En ce moment beaucoup d'assassinats eclatent, beaucoup sur les mêmes personnes, beaucoup d'actions se rapporte aussi a des assassin, une attaque Elmerienne? des fous? Impardonnable?

La reponse dans le prochain journal.

BDD : Brève du Desert Démoniaque:

Un voleur de banque innoncenté, que fait la police, un renvoi du desrt est il programmé? le polisson recevra t'il un amende ? la reponse dans la prochaine brève.

Il faudrait encore des articles, on pourrait aussi mettre des publicités pour nos commerces non?

Il y a personne ici ??
*Arcueid est totue seule dans les locaux*

Désert Démoniaque, Abandon.

Une maison comme les autres.

2 jeunes femmes sont en train de dormir paisiblement enlacées, quand tout à coup une voix caverneuse se fait entendre.

Voix: Jeanne...Jeanne...réveille toi...j’ai besoin de toi...

Tout à coup une des 2 femmes se redresse en sursaut. Elle est tout en sueur et semble émerger d’un douloureux cauchemar.

Pensant que c’est sa chérie qui lui a parlé, elle se tourne vers elle pour la questionner, mais doit se rendre à l’évidence : ce n’est pas elle qui lui a parlé car elle dort toujours profondément.

Jeanne: J’ai dû rêver, ce n’est pas grave.

Alors que Jeanne se recouche, à nouveau la voix se fait entendre, plus clair encore.

Voix : Réveille toi Jeanne, tu ne rêves pas et j’ai besoin de toi.
Jeanne : Qui es là ?

Parcourant la chambre du regard, elle doit se rendre à l’évidence, mis à part sa femme et elle, personne d’autre ne se trouve dans la chambre.

Voix : M’as-tu déjà oublié Jeanne ?ne me reconnais tu pas quand je me présente à toi ?
Jeanne : Mon...mon seigneur...est ce vous ? Je suis désolée maître. Je suis votre humble serviteur, que dois je faire pour vous ?

Le son de la voix de Jeanne semble réveiller sa chérie car celle-ci commence à remuer dans le lit. Jeanne se penche vers elle pour lui donner un tendre bisou sans la réveiller.

Jeanne : Rendort toi chérie, j’arrive.

Jeanne se lève avec toutes les précautions et s’habille en silence. Elle sort ensuite de la chambre pour se rendre dans le bureau de la maison.

Jeanne : Je vous suis dévouée mon maître. Que dois je faire ce soir ?
Voix : l’heure est grave Jeanne. Plusieurs de mes temples ont étés la cible d’attentats cette nuit à Naartican. Les terroristes ont voulus détruire la ville et raser ma marque.
Jeanne : quoi ? Comment ont-ils osés ?
Voix : Mais il n’est pas encore trop tard. Leur plan n’a pas totalement réussi. Les temples sont toujours debout, bien qu’abîmés. Les hérétiques ont déjà quitté le lieu de leur forfait de peur de mon courroux. Mais l’un d’entre eux est encore dans un de mes temples, sûrement coincé par des débris. Retrouve le, et fait lui avouer ses forfaits. Je veux connaître ceux qui ont fait cela. Je compte sur toi.
Jeanne : Je réussirai mon seigneur.

Avant de quitter la maison pour se rendre à Naartican, Jeanne se saisit de son épée et de son bouclier. Une bonne marche l’attend dans le désert pour rejoindre Naartican. Une fois là bas, Jeanne ne peut que constater les faits : plusieurs temples de Naar sont en mauvais états dû à de récents attentats. Mais heureusement très peu de temple ont totalement été détruits, par contre ceux toujours debout sont bien amochés et auront besoin de quelques travaux de remise à neuf.

Jeanne : Quelle désolation. Les hérétiques qui ont osés faire cela le paieront. Je vais devoir faire tous les temples pour retrouver ce terroriste.

Après plusieurs heures de recherches à travers les temples et les débris, Jeanne découvre enfin un homme en sal état.

Jeanne : Enfin je te trouve misérable cloporte. Il est bien amoché n’empêche, un premier avant goût de la vengeance divine. Bien, je vais le ligoter pour plus de sécurité, et je vais le ramener avec moi à Abandon dans le temple de Naar. Là-bas je pourrai lui tirer les vers du nez en toute tranquillité.

Pendant le trajet du retour, l’homme inconscient se trouvait sur le dos de Jeanne, ligoter comme un saucisson. Quelques policiers la saluèrent quand elle entra dans Abandon, et firent mine de ne pas voir ce qu’elle transportait sur un signe de sa part, pensant que c’était un criminel qui allait être livré à la justice du désert.

Comme une ombre, en plein milieu de la nuit, Jeanne se dirigea donc vers le temple de Naar sans se faire repérer. Une fois à l’intérieur, elle se trouva une petite salle vide et y déposa son colis. Elle ressortit en bloquant la porte, pour aller chercher quelques plantes médicinales pour pouvoir prodiguer les premiers soins et permettre à l’homme de parler.

Une fois quelques pansements confectionnés, Jeanne vérifia que les liens de sa cible étaient bien en place. Elle en profita également pour regarder s’il ne possédait pas des armes cachées sur lui. Une fois certaine qu’elle pouvait tenter de le ranimer sans danger, elle se lança.
Après quelques minutes, les pansements commencent à faire effet et l’homme commence à faire surface.

Il ne se rend pas compte tout de suite de l’endroit où il se trouve, et pense tout d’abord que l’un de ses amis l’a aidé et qu’il est donc en bonne compagnie. Puis il sent les liens qui l’entravent et se met alors à douter.

C’est ce moment que choisi Jeanne pour lui signifier sa présence.

Jeanne : Alors misérable chien, tu commence à te rendre compte du bourbier dans lequel tu t’es fourré ? Je peux te jurer que toi et tes amis aller regretter avoir voulu attaquer Naartican cette nuit. Vous subirez la vengeance de mon seigneur, je peux te le promettre. Mais avant cela, je vais m’occuper personnellement de toi. Et par Naar, je te jure que quand j’en aurai fini avec toi, tu me supplieras d’abréger tes souffrances et tu me diras tout ce que je voudrai savoir de toi.

En entendant des mots tels que ”vengeance”, ”parler” et finalement ”par Naar”, le prisonnier commença doucement à se rendre compte qu’il était en présence d’une inquisitrice de Naar, et qu’en plus elle semblait assez déterminée.

En tournant la tête pour tenter d’en voir plus de son environnement, il aperçut sur une table plusieurs pansements, et se rendit compte qu’il risquait bien de déguster ce soir, et que sa nuit ne faisait que commencer.

Alors que sa tortionnaire s’approchait dangereusement d’elle, elle se mit à parler à quelqu’un d’autre que lui. Etant donné qu’ils ne sont qu’eux deux dans la pièce, à qui pouvait elle parler ? Il se décida d’écouter plus attentivement les paroles de la jeune femme.

Jeanne : ...oui mon seigneur, il est en face de moi et je m’apprête à le faire parler. Bientôt il me dira tout ce que j’ai besoin de savoir, et bien plus encore. L’affront qui vous a été fait pourra bientôt être puni maître. Je m’en charge personnellement…

Prisonnier : Se peut il qu’elle parle avec l’autre démon ? Mais non c’est tout bonnement impossible. Elle parle juste toute seule, et veux me faire croire que Naar s’adresse à elle. Non, c’est pire que ça encore, elle semble bien croire qu’elle s’adresse à lui directement, elle ne joue pas la comédie. Mais si c’est bien le cas, je suis tombée sur une vraie folle...

Au final, quel est celui qui a raison, Jeanne entend elle vraiment Naar, ou bien son esprit lui joue t il des tours ? C’est ce qu’on pourra savoir lors de la suite de cet interrogatoire.

ALors il n'y a pas assez d'articles???O_o